Nights Changes (Fenrir)
Elisabeth Sinclair29 ansInspecteur de policeYamato - One PieceEzechiel S. Yun
Elisabeth Sinclair
Ven 30 Déc 2022 - 21:45
Âge : 29 ansMétier : Inspecteur de policeFeaturing : Yamato - One PieceAutres comptes : Ezechiel S. Yun
Elisabeth Sinclair
Nights Changes
La nuit règne. Elle domine les rues de Los Angeles. Elle instaure la peur, cette atmosphère sinistre qui précipiter les pas. L’envie de rentrer chez soi, vite, de ne pas se faire attraper par le danger, par l’ordre. Ce soir, il n’y a pas âme qui vive dans les allées de la cité. Ce soir, un couvre-feu est imposé pour protéger les citoyens. Ce soir, encore, les habitants craignent pour leur vie.
Et toi, Elisabeth, tu guettes. L’arme fermement accrochée à la ceinture, l’uniforme sur le dos. Tu as ton insigne à la poitrine, les cheveux relevés, tu es de service. T’as laissé la moto un peu plus bas dans la rue et commences ta ronde habituelle depuis les interdictions de sortir tombées. Ces temps-ci, t’as l’impression que les soirées sont de plus en plus dangereuses. Le nombre d'enquêtes non-résolues augmente, tout comme le nombre de disparitions. Dernièrement, on parlait même d’un meurtre d’assez grande envergure.
L’angoisse.
Tu t’allumes une clope, tu ne vois rien, ni personne. A vrai dire, c’était plutôt bon signe. Tu prends le temps de te poser un peu après plusieurs heures à te balader dans le quartier. Bientôt, il serait l’heure de rentrer. Tu regardes ta montre, trois heures. Les derniers fêtards devaient s’abstenir d'essayer de rentrer en douce désormais. T’écrase ce qu’il reste de ta cigarette contre le bitume et reprends le chemin de ton véhicule, jusqu’à entendre un énorme brouhaha. Une voix se laisse entendre entendre quelques ruelles plus loin.
Putain, fait chier.
Et tu te mets à courir en direction du bruit. Tu débarques dans un coin mal éclairé, évidemment. Pourtant, tu n’as aucun doute sur l’identité de la silhouette à laquelle tu te confrontes dès l’instant où tes yeux d’ambre se posent dessus. Deux mètres, les cheveux tombant sur les épaules, une chaise sous le bras. Encore. Monsieur Kaufman. Vous ne cessez jamais de me surprendre. Et ce n’était pas un compliment. Tu dégaines ton arme, plus pour la forme que dans l’intention de l’abattre. Vous savez que vous transgressez le couvre-feu, et de loin. Tu t’approches, sort les menottes de ta poche. Vous allez devoir me suivre au poste. Et tu lui passes dans attendre les bracelets de fer autour des mains. C’était pas la première fois, et encore moins la dernière. Tu en étais étrangement persuadée.
Et toi, Elisabeth, tu guettes. L’arme fermement accrochée à la ceinture, l’uniforme sur le dos. Tu as ton insigne à la poitrine, les cheveux relevés, tu es de service. T’as laissé la moto un peu plus bas dans la rue et commences ta ronde habituelle depuis les interdictions de sortir tombées. Ces temps-ci, t’as l’impression que les soirées sont de plus en plus dangereuses. Le nombre d'enquêtes non-résolues augmente, tout comme le nombre de disparitions. Dernièrement, on parlait même d’un meurtre d’assez grande envergure.
L’angoisse.
Tu t’allumes une clope, tu ne vois rien, ni personne. A vrai dire, c’était plutôt bon signe. Tu prends le temps de te poser un peu après plusieurs heures à te balader dans le quartier. Bientôt, il serait l’heure de rentrer. Tu regardes ta montre, trois heures. Les derniers fêtards devaient s’abstenir d'essayer de rentrer en douce désormais. T’écrase ce qu’il reste de ta cigarette contre le bitume et reprends le chemin de ton véhicule, jusqu’à entendre un énorme brouhaha. Une voix se laisse entendre entendre quelques ruelles plus loin.
Putain, fait chier.
Et tu te mets à courir en direction du bruit. Tu débarques dans un coin mal éclairé, évidemment. Pourtant, tu n’as aucun doute sur l’identité de la silhouette à laquelle tu te confrontes dès l’instant où tes yeux d’ambre se posent dessus. Deux mètres, les cheveux tombant sur les épaules, une chaise sous le bras. Encore. Monsieur Kaufman. Vous ne cessez jamais de me surprendre. Et ce n’était pas un compliment. Tu dégaines ton arme, plus pour la forme que dans l’intention de l’abattre. Vous savez que vous transgressez le couvre-feu, et de loin. Tu t’approches, sort les menottes de ta poche. Vous allez devoir me suivre au poste. Et tu lui passes dans attendre les bracelets de fer autour des mains. C’était pas la première fois, et encore moins la dernière. Tu en étais étrangement persuadée.
CREDIT/MEI
Fenrir Kaufman32CatcheurInosuke Hashibira - Demon SlayerRaphaël Lavigne
Fenrir Kaufman
Sam 7 Jan 2023 - 14:21
Âge : 32Métier : CatcheurFeaturing : Inosuke Hashibira - Demon SlayerAutres comptes : Raphaël Lavigne
Fenrir Kaufman
Nights changes
Depuis l'arrivée du couvre feu, Fenrir est un habitué des forces de police. Parfois, on le laisse tranquille parce qu'il a une autorisation de sortie. Parfois, il passe quelques heures au poste avant de sortir miraculeusement sur un coup de main d'un autre protecteur. Parfois, il y reste une journée complète et il doit se justifier.
Mais cette nuit, c'est spécial. On est le jour du réveillon, dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier. Une nuit active pendant laquelle les monstres vont frapper à coup sûr. C'est pour ça qu'il est dehors, lui comme beaucoup d'autres. Mais ce n'est pas que ça ! Parce que dans ses nombreuses arrestations, Fenrir a eu le plaisir de rencontrer une inspectrice de la police de Los Angeles. Bon, elle l'arrête quand même, mais elle est marrante.
Et il sait de source sûre (genre à 60%) que le premier janvier, c'est son anniversaire. Alors dans son sac à dos, il a pris une boîte de chocolats. Peut être qu'il la croisera pas, oui. Mais peut être que si.
Il est trois heure du matin. Fenrir a eu le temps de se débarasser de deux monstres inférieurs et d'un monstre supérieur sans trop d'égratignures (à des moments différents de la soirée, dieu merci) et il n'est pas loin de rentrer chez lui. Mais il reconnaît, depuis les toits, une crinière qui lui est famillière. Ah, tant pis pour l'entraînement du matin.
Il descend le long d'une gouttière, fait beaucoup de bruit, exprès pour qu'on le remarque. Il grommelle quelque chose assez fort pour qu'on l'entende et le piège fonctionne. Une lampe torche directement pointée sur sa tête. Il glisse la chaise dans l'emplacement prévu, entre son sac et son dos, puis lève bien gentiment les mains pour qu'elle lui mette les menottes.
"Inspectrice Sinclair ! Ma préférée !"
Aucune menace, un vrai compliment sincère.
"Ah, je sais, je sais. Mais c'est une date importante, vous savez ! J'étais obligé d'sortir ce soir."
Clic, clic, les meottes autour de ses poignets. Toujours désagréable, mais Fenrir avait parfois l'habitude d'en utiliser, de toute façon.
"Avant de rentrer dans votre voiture, est-ce que vous pouvez ouvrir mon sac et prendre la boîte emballée ? J'savais que je tomb'rai sur vous, alors j'ai pris ça."
Il se tourne un peu pour lui laisser accès à la fermeture éclair. Eh, ça, c'est sûr que personne lui aura jamais fait !
Elisabeth Sinclair29 ansInspecteur de policeYamato - One PieceEzechiel S. Yun
Elisabeth Sinclair
Dim 12 Mar 2023 - 18:21
Âge : 29 ansMétier : Inspecteur de policeFeaturing : Yamato - One PieceAutres comptes : Ezechiel S. Yun
Elisabeth Sinclair
Nights Changes
Chaque arrestation dudit Fenrir ressemblait à une vaste blague sans réel objectif. Tu ne comprenais jamais les intentions du jeune homme. Il ne semblait pas particulièrement méchant, ni agressif. A vrai dire, il se laissait arrêter sans grande complainte. Et ce soir, même rengaine à l’instar d’un CD que l’on écoute en boucle. A croire qu’il ne se laissait pas de finir en garde à vue. Les intonations de sa voix sont joyeuses, pendant que tu souffles. Avait-il oublié que le couvre-feu était en vigueur pour t'accueillir avec tant de bonne humeur ? Tu en doutes, sinon en aucun cas il aurait accepté avec tant d’aisance de se rendre. Si j’étais réellement votre préféré, vous m’auriez épargné des heures supplémentaires ce soir. Complainte, t’avais bien envie de rentrer, profiter d’un bain chaud. Cependant, ton travail passait avant tout comme le bien-être des habitants de cette ville.
Lorsqu’il mentionne la date importante, ça te frappe l’esprit : la nouvelle année et allant de paire, celle de ton anniversaire. Tu pouvais souffler tes trentièmes bougies en cette nuit. Tu te pinces l’arrête du nez, te demandant vraiment ce qui pouvait bien passer par la tête de cet homme. J’ai beaucoup de question, Fenrir. Tu te permets de sortir de ton rôle de mauvaise flic quelques instants. Ton regard lorgne sur les affaires du malfrat. Pourquoi est-ce que tu te trimballes toujours avec cette vieille chaise, même pour m’offrir un cadeau ? Parce qu’il fallait l’admettre que c’était… surprenant.
Tu te hisses sur la pointe de tes pieds pour atteindre la fermeture éclair du sac. Etait-ce ne serait-ce que permis d’être si grand ? En ouvrant le sac, tu y découvres en effet une belle boite bien emballée et ça te déroute. Tu ne sais pas comment réagir, partagé entre ton devoir, l’exaspération et le fait de trouver ça cruellement adorable. Tu refermes le sac et viens donner une légère tape sur l’épaule de celui qui était toujours menotté. Merci. Tu le prononces tout bas, quelque peu gênée de la situation. Ceci dit, tu étais obligé de te faire arrêter pour m’offrir quelque chose ? A quoi tu penses ? Tu élèves un peu la voix, parce que ça te faisait plaisir, parce que ça te mettait dans une position délicate, parce qu’après tout, c’était pas un mauvais type.
Lorsqu’il mentionne la date importante, ça te frappe l’esprit : la nouvelle année et allant de paire, celle de ton anniversaire. Tu pouvais souffler tes trentièmes bougies en cette nuit. Tu te pinces l’arrête du nez, te demandant vraiment ce qui pouvait bien passer par la tête de cet homme. J’ai beaucoup de question, Fenrir. Tu te permets de sortir de ton rôle de mauvaise flic quelques instants. Ton regard lorgne sur les affaires du malfrat. Pourquoi est-ce que tu te trimballes toujours avec cette vieille chaise, même pour m’offrir un cadeau ? Parce qu’il fallait l’admettre que c’était… surprenant.
Tu te hisses sur la pointe de tes pieds pour atteindre la fermeture éclair du sac. Etait-ce ne serait-ce que permis d’être si grand ? En ouvrant le sac, tu y découvres en effet une belle boite bien emballée et ça te déroute. Tu ne sais pas comment réagir, partagé entre ton devoir, l’exaspération et le fait de trouver ça cruellement adorable. Tu refermes le sac et viens donner une légère tape sur l’épaule de celui qui était toujours menotté. Merci. Tu le prononces tout bas, quelque peu gênée de la situation. Ceci dit, tu étais obligé de te faire arrêter pour m’offrir quelque chose ? A quoi tu penses ? Tu élèves un peu la voix, parce que ça te faisait plaisir, parce que ça te mettait dans une position délicate, parce qu’après tout, c’était pas un mauvais type.
CREDIT/MEI
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