Lucy et son caractère:
QUALITÉS : Déterminée – Charmeuse – Charismatique – Sérieuse – Réfléchie – Joueuse – Intuitive - Loyal - Méticuleuse – Raffinée – Intelligente – Discrète - Attentive - Sensible et surtout très famille.

DÉFAUTS (qu'elle essaie de cacher tant bien que mal) : Méfiante - Impulsive - Sadique - Arrogante - Impérieuse - Froide - Distante.

PRÉFÉRENCES : être au centre de l'attention, charmer, surprendre, jouer, danser.

ANTIPATHIES : les endives aux jambons, le saucisson, Les gens malodorant, les filles niais et trop « pleurnicheuse ».

Je m’appelle Lucy, je viens d’une petite famille modeste de la ville de San Diego, j’ai une famille des plus normale selon certains, du moins j’avais. Nous étions des sorciers, nous étions bien cachés au vu de tous, sans le moindre écart, vivant comme tout être humain, je pouvais le dire, car c’était rare que nous eussions de la visite, nous vivions assez modestement et sans vraiment superflue… Une télé ? Qu’est-ce ? Je ne connaissais que les livres ou les bandes dessinées.


Il existait dans notre monde actuel, une diversité de personnes, et de choses plus ou moins ef-frayantes, mais du haut de mes 5 ans, je ne pouvais pas vraiment tout comprendre, je savais juste qu’il y avait des gens plus ou moins gentils, et d’autres assez méchant… Ma mère me répétait sou-vent de ne pas faire confiance à tout le monde.


Nous ne faisions pas partie de couvent de ce que je me rappelle, mes parents préféraient rester à l’écart de toute interaction avec autrui afin d’éviter toutes obligations et bien d’autres soucis.


Aujourd’hui, j’avais 7 ans, une vie des plus basique, sans chichis, mes parents me donnaient des cours à la maison, j’aimais lire et écrire, j’apprenais assez rapidement au grand étonnement de ma mère. Je savais concocter diverses potions que ma mère avait écrites dans son carnet, je savais différencier les différentes plantes nécessaires pour des remèdes plus ou moins avancés. Selon ma mère, j’étais un petit génie dans ce domaine, beaucoup plus qu’elle ou mon père et que je pourrais aller loin si je continuais ainsi.


Tout n’était cependant pas écrit dans les lignes de la main, chaque destin dépend de l’impact que peut avoir plusieurs événements ou individu sur la vie de quelqu’un, et ma vie qui était jusqu’à la parfaite, allait tourner au cauchemar… C’était la veille de mon 8e anniversaire, la lune était pleine et aussi rouge que le sang, j’étais dans mon lit, au moment où j’entends mon père donner l’ordre à ma mère de me prendre et de me cacher dans la cave…


- Maman, non, je ne veux pas…. MaMaaaan ! Hurlais-je. Ne me laisse pas… Mes larmes coulaient de manière continue.


J’entendais des hurlements, les cris de mes parents et de ces choses que je voyais par le petit trou de la porte de ma cave, mes parents étaient à terre, gisant dans le sang, traînés à terre par ses monstres… Et puis, il y a ce moment où je croise le regard vitreux de ma mère tourné vers moi jusqu’au moment où j’entends un monstre grogner dans ma direction et dire :


- On s’en va et on les amène avec nous avant qu’ils ne se transforment…


Je mets ma main devant la bouche pour ne pas faire trop de bruit, mais mon sang ne fai-sait qu’un tour dans mon corps, je sentais mon pouvoir augmenter, jusqu’au moment où je perçois les paroles de ma mère.


Calme-toi, reste cacher, jusqu’à ce que quelqu’un arrive… Ne te fais pas voir et ne fais jamais complétement confiance… Nous nous reverrons sûrement un jour ma puce…


À ses mots, mes larmes se mirent à couler à flots, sans un bruit, je me retrouvais seule, une maison dans un état pitoyable… Je finis par sortir de ma cachette, il n’y avait plus personne dans le coin, et pas vraiment de passage surtout à cette heure tardive. Je ne savais que faire, je n’avais que 9 aujourd’hui, les décisions ce n’était pas pour moi… Mais du haut de mon petit âge, il ne fallait pas que je reste ici… Ils pourraient revenir pour brûler toutes les preuves… Je prends un sac à dos, je le remplis d’affaires que ma mère chérissait, tel que son livre de potion, quelques affaires de rechange et quelques sous que mon père avait laisser de côté dans un bocal et quelques nourritures.


Mon sac à dos avec moi, je pris la route avec mes petits pieds, suivant un chemin au ha-sard, je ne savais pas vraiment par où aller, j’étais perdu, en larme et fatiguée… Jusqu’au moment, ou j’entends quelques voix venir dans ma direction… À qui étaient-ce ses pen-sées ? Pourquoi les entendais-je, était-ce des gens bien ? Plus les secondes passent et plus elles se rapproches encore un peu plus de moi… Je voulais crier à l’aide, mais je n’arrivais plus à crier, je n’avais plus de force… Jusqu’au moment où je vois une voiture sur cette route désertique qui allait en direction de los angeles, j’avais réussi, je ne sais comment à leur transmettre un message avant de m’écrouler sur le sol


J’ai dormi pendant 3 jours, j’ouvris les yeux doucement, il y avait quelqu’un à mon chevet, et mon premier fut le mot « maman », la personne qui leva la tête n’était pas celui de ma mère, mais d’une femme d’âge moyen, elle me regardait comme si elle avait vu un miracle et me dit :


- Je pensais que tu n’allais jamais te réveiller, vas-tu bien mon enfant ?


Je la regardais et mes larmes se mirent à couler sans attendre.


- Mes parents... Où suis-je ?


La personne devant moi m’avait demandé de me calmer, que nous en parlerons une fois sur pied. Je pris une bonne douche et un bon repas, juste avant de me faire appeler par la femme qui était à mon chevet. Elle m’expliqua qu’ils m'avaient trouvé, elle et son fils, écroulé sur le sol et quand voulant savoir qui j’étais, elle était tombée sur le cahier de po-tion. Elle n’avait pas hésité une seule seconde à m’emmener au coven de Los Angeles ou ma vie changea radicalement…


Au fil du temps, je grandis dans un endroit un peu plus lugubre que ce que je connais-sais, c’était un endroit qui était appelé « le coven», j’en avais déjà entendu parler par ma mère, mais elle ne m’en disais jamais plus, je savais juste que c’était un regroupement de personne comme moi avec des règles, des principes et sûrement mois de liberté que nous avions quand nous vivions que tous les trois...

Je n’avais plus rien… Je finis par vivre avec cette famille et le coven, je repris les cours intensifs, priorisant les cours de sorcelleries, au point d’être première dans le classement de l’utilisation de la sorcellerie et de me diriger tant un métier tel que biologiste. Je m’efforçais à travailler encore plus pour ne plus penser à ses cauchemars que je faisais régulièrement… Je n’avais qu’une envie, c’était de détruire ses monstres qui m’avaient enlevé les êtres les plus chers que j’avais. Je ne savais pas du tout s’ils étaient encore en vie et quand même bien, ils s’étaient peut-être transformés en ses horribles monstres… Pourrais-je les retrouver ? Pourrais-je les sauver… ? Sans cette femme et le coven… Je ne serais sûrement pas la femme forte et courageuse que je suis aujourd’hui du haut de mes 22 ans… Pourrais-je les remercier correctement un jour ?

Pseudo : Nanou
Âge : ça ne se demande pas a une dame
Pronoms : texte
Commentaire : texte