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Août 2022, Ouest des Etats-Unis.

En apparence, ce coin du pays pourrait être comparé à un petit coin de paradis !

Mais le monde n’est pas toujours tout beau, ni tout rose. Parmi les humains se cachent secrètement de créatures à la recherche d’un peu de chair fraîche à dévorer. Les monstres, des créatures anthropophages, sont un danger public pour le reste de la population.

La journée, les protecteurs et les monstres se côtoient dans la société moderne. Cachés par leur forme humaine, les monstres sont incapables de reconnaître les protecteurs,qu’ils ne peuvent voir la nuit que sous la forme d’une aura colorée. De ce fait, un protecteur et un monstre pourraient très bien travailler ensemble la journée… et s’affronterla nuit.

Une trêve permet aux habitants de Los Angeles de vivre correctement… mais tiendra-t-elle encore longtemps ?
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Ven 18 Nov 2022 - 23:26
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Gabriel & Fye


L'eau qui boue sur la flamme crépitante. La céramique qui tinte, à peine posée sur la surface de la table. Le thé déjà disposé, n'attend plus que la cascade bouillante pour infuser. Sur le comptoir, deux tasses. La tienne et la mienne. Celle que j'ai pris pour habitude d'utiliser à chacune de mes visites. Pour chacun de ces moments où je parvenais à me faire une place, ici, chez toi, pour la nuit à défaut d'une vie.

Il y a probablement meilleure literie qu'un canapé, mais le tiens me convient bien. Il y a ton odeur qui demeure. Les souvenirs des nuits passées assis ici, à parler, débattre, rire, se disputer aussi. Car il y a forcément eu des moments de tensions, d’accrocs. Ces moments où je finissais par claquer la porte avant que tu ne me mette toi-même dehors. Pour des broutilles en plus. Alors que la décision la plus sage aurait été de simplement communiquer. Mais parfois, tout n'est pas si évident.

Ton admiration pour les autres.
Leur nom applaudit du bout de tes lèvres.
En moi une sensation désagréable.
Un mal être qui naît.
Dès lors je me renferme, incapable de mettre un mot sur le sentiment naissant qui n'a pourtant rien d'autre comme nom que
la jalousie.

Tu m'as chassé aussi, le temps pour toi de dépoussiérer les lieux. Ricanant de ton côté maniaque alors que tu me poussais dehors, agacé ou affligé, je ne sais pas. Tant de motifs pour quitter les lieux. Bien plus pour y rester. Mais jamais celui réellement souhaité. Les mots tus depuis longtemps déjà. Trop longtemps.
Peut-être suffisamment pour enfin arracher le bâillon des sentiments. Envoyer valser la peur d'un rejet, d'un quiproquos. La peur de saccager une relation. De tout gâcher.

Oui, trop longtemps.
C'est pour ça que ce so-...

L'eau qui déborde, me ramène de ma rêverie. Tic de la langue et marmonnements d'agacement. J'interviens, sors du feu l'inox brûlant. La vapeur qui s'envole, l'eau que je verse dans le filtre. Je jette un regard à l'horloge, pousse un soupir, mais l'air amusé, presque attendri.

Toujours dans l'abus, Gabriel, il est bientôt 11h.

Je déplace les tasses sur la table, ajuste le panier de fruit et les quelques viennoiseries fraîchement rapportées. Depuis qu'on se connait, je crois qu'il est arrivé une ou deux fois, que tu te lève avant moi. J'aurais du mémoriser les dates, et en fêter chaque anniversaire.
Au moins juste pour te charrier un peu.

Je quitte la cuisine pour m'aventurer jusqu'au seuil de ta chambre. J'en ouvre la porte, silencieusement. Et tu es là, le visage à moitié mangé par ta couette. La pièce est plongée dans le noir, climat confortable pour se laisser aller à un sommeil mérité. Quoique, même en plein jour tu te serais assoupis. Je m'adosse aux chambranles, les bras qui se croisent sur mon torse. Le regard doux et amusé posé sur toi. Tu es si calme. Si paisible. La masse de couverture s'élève et descend au rythme de ta respiration profonde. Le contraste avec le pourfendeur aguerris est remarquable.

Comme il est tentant,
si tentant, Gabriel, de me glisser prêt de toi.
De sentir ton dos contre mon buste.
D'avoir le visage perdu dans ta nuque, chatouillé par tes boucles.
De me permettre de passer un bras hanches et te de rapprocher de moi.

Voilà, les pensées que je nourris, depuis ce fameux trop longtemps.
Celles que je veux transformer en réalité mais derrière lesquelles je suis bloqué.
La tête basculée en arrière contre le bois de l'encadrement, un rire un peu désuet qui m'échappe.

Retour au présent.
Je décroise les bras, me redresse.
Franchis la distance jusqu'à ton lit.

Tu es beau, Gabriel.
Les pensées qui divaguent. Les pensées qui débordent. Dis moi, Gaby, que je suis le seul à être spectateur de ton apaisement.
Même si j'avais l'intention de te réveiller brusquement, juste parce qu'il en a souvent été ainsi, je n'en fais rien.
Et je laisse deux doigts effleurer ta joue, me perdant un instant dans un songe inaccessible.

En douceur, je rabats la couette.

▬ Gabriel. Gabriel réveille-toi.

La voix basse. Je préférais éviter de me faire trucider par un sursaut de ta part. Pas aujourd'hui. Surtout pas aujourd'hui.

Je m'éloigne vers la porte.
Et j'allume la lumière.
Elle est vive, puissante.

▬ Le thé va refroidir.


Et dans la cuisine, je sers les deux tasses. Empoignant la mienne avant de m'adosser au plan de travail, le regard perdu sur les pages d'un magazine posé là, feuilleté du bout des doigts.


Gabriel Solbergje suis bg29 ansFleuristeGriffith (Berserk)Isaiah Ainsworth
Gabriel Solberg
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Gabriel Solberg
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Jeu 24 Nov 2022 - 15:26
Gabriel Solberg
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je suis bgÂge : 29 ansMétier : FleuristeFeaturing : Griffith (Berserk)Autres comptes : Isaiah Ainsworth
Gabriel Solberg
This night Flowing, winding, toward eternal seaIl avait horreur du matin. Se lever lui était semblable à une épreuve olympique, amoureux de morphée, rester dans ses bras toute une journée, était un plaisir auquel il rêverait de s’adonner. Pourtant, ses obligations l’arrachaient bien trop souvent de la douceur de ses draps, fleuriste de jour et protecteur la nuit, Gabriel malgré ses airs de grand dormeur, ne passait que peu de temps à se reposer réellement.

Ses journées étaient longues, ses nuits plus encore. Il se devait d’être parfait, de réussir, de parvenir à ses objectifs. Pour que jamais plus, il ne soit témoin de la mort.
Elle était là, effrayante, sa main gelée qui lui caressait les joues. Muet face à ses peurs, il était en réalité terrifié par elle, tremblant à l’idée de la rencontrer, encore et encore.
Et ce n’était guère sa propre fin qui lui était insupportable, mais celles de ceux qui l’accompagnaient.

Amoureux de la vie,
Il ne rêvait que de les voir sourire.

Une voix lointaine, douce, qu’il aimait plus que tout. Et ne serait-ce que pour l’entendre encore, il ne fit que grogner un peu, se retournant dans ses draps.

Ah,
Qu’il avait envie d’attraper sans main.
De lui dire de rester un peu.

Mais nul mot ne fut prononcé.
Scellé par la raison.
Emprisonné par la peur.

Le cœur enchaîné, des mots qui lui semblaient comme interdits. Il voulait parfois, l’enlacer, l’embrasser, lui murmurer le flot de ses sentiments. Sans jamais y parvenir, bloqué, incapable de lui avouer, de se l’avouer. Terrifié, par le rejet, par la perte, vivre sans Fye lui semblait égal à perdre son oxygène, à abandonner un amour qui n’avait même pas débuté.

Il lui semblait pourtant,
Parfois,
Que Mordred nourrissait envers lui,
Les mêmes pensées,
Pourtant,
Gabriel restait muet,
Muet face à l’inconnu.

La lumière vint l’agresser, alors qu’il enfonçait son visage dans son coussin. Il n’aimait pas se lever, qu’importe les circonstances, se réveiller était une épreuve, et il devait la subir chaque jour de sa vie.

Quelle merde.

Un soupir s’échappa de ses lèvres, alors qu’il sortait de son lit quelques longues secondes plus tard, traînant du pied tout en s’étirant. Il râlait, mais dans le fond, il adorait l’idée de voir Fye à son réveil.

Parfois, souvent en réalité, il rêvait de pouvoir l’admirer plus encore, de pouvoir se blottir contre lui, savourer la chaleur de son corps. Gabriel nourrissait des désirs qu’il préférait taire, incertain de la réaction du rouquin.
Et pourtant,
Pourtant,
Admirer ses traits au réveil serait le plus beau des cadeaux.

Son regard se porta au paladin, observant sa longue tignasse orangée, s'indignant silencieusement sur sa beauté. Était-ce même légal d’être aussi beau, de ne rien faire et de parvenir à faire chavirer son cœur malgré tout ?
Non. Non. Non.

Les traits tirés par une moue agacée, il passait ses bras autour de la taille du rouquin, laissant son visage se noyer dans sa nuque. Pas un mot, il n’en était pas capable si tôt, mais il avait eu cette envie, ce désir, de le sentir proche de lui.
Vivant.
Sa chaleur était rassurante, plaisante, et Gabriel s’étonnait de l’adorer plus encore que la veille. Sa poigne se resserra autour de ses hanches, profitant de sa fragrance pour se réveiller un peu plus. Fye.

Ce soir,
Oui, ce soir,
Il lui dirait,
Ces mots,
Ces mots qui lui étaient si chers.


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Dim 27 Nov 2022 - 16:46
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Gabriel & Fye


Un souffle sur l'ondulation fumante, les doigts qui tournent les pages à peine lues du magasine. La tasse portée aux bords des lèvres, le regard sur le papier mais l'esprit ailleurs. Tellement ailleurs. Brûlure fine sur la pointe de la langue, et je grimace, à la fois agacé et amusé. Incapable de focus sur quoique ce soit. Sur quoique que ce soit d'autre que toi, Gabriel. L'article sur les motos à l'air franchement sympathique. Beaucoup moins cependant que les projets que je nourris en secret.

Ce soir, c'est décidé.
J'abattrais à coup de poing le mur bâti de peur et de gène.
J'enverrais chier la raison et ses principes pour laisser parler le coeur. Il est depuis bien trop longtemps muselé derrière la sagesse et la prudence.
Pourtant, il a envie de hurler.

Je ne compte plus ces moments où, en silence, je t'observe. En combat ou conversant avec d'autres. Ces moments où je te trouve simplement beau. Inconscient. Si naturel. Presque angélique. Ou angélique tout court, comme ce matin, sous tes draps, auréolé de tes cheveux, le visage si apaisé. Ce boumboum dans ma poitrine que tu provoque, et que je vais bientôt laisser s'exprimer. Ces moments où tu baisses un peu la garde aussi, et où j'ai envie de venir me loger.  Envie de mettre le bordel dans ton planning si sérré. Ces jours de travail, quand tu sers les clients. Quand tu t'éloigne vers la réserve et où j'ai juste envie de t'y rejoindre.
Claquer la porte.
La verrouiller.
T'y plaquer et plaquer mes hanches contre les tiennes.
Laisser mon souffle se perdre sur tes lèvres. Mes doigts s'égarer dans ta cascade blanche.
Te demander pardon pour tes clients qui devront patienter.
Car tes prochaines minutes, j'ai l'intention de les accaparer.


A nouveau le bout des lèvres brûlées par le thé fumant. Je tic, réalisant probablement l'affront que je vais faire mais, tant pis. Décollant mes lombaires du comptoir, j'y laisse ma tasse avant de tirer la bouteille de lait du frigo. Un coup d’œil vers l'horloge, puis vers le couloir. Mais je ne te vois pas. Soupire et je secoue la tête en pouffant. Tu joues avec mes nerfs Gaby. Tu ne t'en rends pas compte, mais aujourd'hui plus que d'habitude.

Arrivé devant le plan de travail pour verser le lait, y mélangeant ses molécules avec le thé.
Un tourbillon crée à la cuillère tandis que j'essaie de me débarrasser de l'angoisse qui vient me serrer la gorge à coup de lampée. J'ai l'impression de jouer ma vie, ce soir. Il faut que je me cal-

Et tes bras viennent s'enrouler autour de mes hanches, suspendant mes gestes. Mécaniquement je me raidis avant de sentir la chaleur de ton corps contre le mien. Ai-je été si distrait pour ne pas avoir remarqué ta présence ? Aah... oui, probablement. Mais tu viens souffler sur le brouillard opaque, envoyant valser mes doutes.

Mon prénom sur tes lèvres. Je me sens comme sur un nuage. Apaisé, les muscles détendus.
Je veux juste profiter de l'instant. Virer la peur. Virer les doutes et l'incertitude. Me laisser juste porter. Comme on dit ;
Carpe Diem.

▬ Bonjour.

La voix posée, le timbre de la tendresse.
Ton visage fourré dans ma nuque, le rebond de ton souffle que je sens comme un délice chaleureux. Abandonnant la tasse pour venir poser mes mains sur les tiennes. Le visage incliné vers elles, le sourire attendri aux lèvres.

Tu sais, dans ces moments-là, je me sens comme un idiot. Le genre d'idiot qui se rend compte qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter. Parce que j'ai le sentiment que tes pensées font écho aux miennes. A moins que je ne me trompe totalement, et que tu es simplement tactile et proche.
Ce qui me ferait doublement chier, je dois bien l'avouer.

▬ Désolé pour le réveil.

A contre coeur, vraiment, je me déloge pour me retourner. Les commissures frémissantes quand je découvre ton visage éveillé, les yeux encore un peu alourdis par le sommeil. Mes sourcils se froncent alors que tu pouce, je viens constater tes cernes.

▬ C'est ton jour de repos.

Aka j'aurais pu te laisser dormir plus longtemps.

▬ Mais je voulais te voir un peu avant de filer.

Mon regard planté dans le tiens, le silence qui s'impose, brisé uniquement par le tic tac sonore de l'horloge. Brisé par les battements affolés de mon palpitant. Ma paume qui vient épouser la forme de ta joue, mes pupilles qui vibrent, tombent sur tes lèvres.
Et la claque mentale que je m'inflige, reprenant le contact visuel.
Ce soir, ce soir on a dit !!

Je libère ta joue, à contre coeur,
soupire.

▬ C'est l'anniversaire de mon frère aujourd'hui, et je n'ai absolument rien prévu. En revanche... je désigne d'un coup d’œil la table dressée, les victuailles disposées. J'ai pensé à toi. Comme à chaque jour. Je ris d'un rire d'excuse, profitant de ton court instant d'inattention pour déposer mes lèvres sur tes cheveux. C'est pour me faire pardonner le réveil.

Je m'écarte pour rejoindre la table. Je retire le pull pour le laisser à suspendre sur le dossier d'une chaise, restant en simple t-shirt noir. Je fouille dans mes poches, tire un élastique pour rassembler ma crinière en haute.

▬ Ezechiel se débrouille de mieux en mieux, je voudrais... je sais pas, l'encourager et marquer le coup avec un truc....Mais ne lui dis pas, il serait bien trop heureux.

Je sais que votre relation n'est pas des plus amicales, mais j'espère qu'un jour ma famille puisse entièrement s'entendre.


Gabriel Solbergje suis bg29 ansFleuristeGriffith (Berserk)Isaiah Ainsworth
Gabriel Solberg
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Jeu 5 Jan 2023 - 18:12
Gabriel Solberg
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This night Flowing, winding, toward eternal seaSes bras entouraient tes hanches, alors qu’il plongeait son visage dans la masse de tes cheveux, appréciant silencieusement la fragrance de l’homme qui faisait battre son cœur. Amoureux, très certainement, de toi depuis déjà trop longtemps. Il t’avait d’abord trouvé beau, puis avait trouvé dans ta personnalité un soleil depuis longtemps égaré.

La manière dont tu souriais de toutes tes dents, ou même, ton rire d’idiot dont il n’arrivait désormais plus à se passer, appréciant ces tonalités légères.
Il avait rêvé, plus d’une fois, d’entendre le son de ta voix lui murmurer son nom. Tout naturellement, il n’avait pas eu d’autre choix que d’admettre l’évidence, il était tombé amoureux d’un homme qu’on pouvait lui arracher à tout instant.

Car ils étaient des protecteurs.
Et rares étaient ceux qui pouvaient se vanter de vivre vieux.

Rapidement, il avait pris peur, s’était imaginé mille-et-un scénario, se rappelant qu’un jour la mort viendrait les enlacer de sa froideur. Muet face à ses sentiments, silencieux dans sa tourmente, Gabriel s’était dit qu’aimer était un luxe, un luxe qu’il était dur de conserver.
Parce qu’un jour, l’un devrait vivre sans l’autre.

Mais renoncer à t’avoir à ses côtés était plus dur encore, au bout du compte, la vie était fragile alors il se devait de profiter de chaque instant, de vivre pleinement jusqu’au moment fatidique.

Jusqu’au son du glas.

Fye, il te savait fort, il en était parfaitement conscient, mais cette force était également ce qui l’inquiétait parfois. A l’instar de Gawaïn, tu étais une cible à abattre, une nuisance dont les monstres voulaient la mort, et une personne qu’il désirait plus que tout protéger, qu’importe le prix.

Ta voix le fit revenir à lui, alors que la chaleur de tes mains embrassait les siennes. Silencieux, il ne fit nul geste, appréciant le moment, jusqu’à ce que tu viennes lui faire face. Ta main sur sa joue, alors qu’il se laissait emporter par le torrent de ton regard, quelques longues secondes. Je t’aime, je t’aime, je t’aime Fye, des mots logés aux bouts de ses lèvres, des sentences qu’il préservait depuis des mois, qu’il n’osait prononcer, un secret mal gardé qu’il voudrait hurler.

Mais il ne le fit pas.
Pas maintenant.

Me priver de mon lit est tout de même outrageant, tu aurais pu simplement m’y rejoindre et faire la grasse matinée également. Amusé, avant de manquer de tomber à ton action.

Tu venais d’embrasser ses cheveux ?
Comme ça ?
Pour simplement t'asseoir ensuite.
Il hésitait à dire quelque chose, mais, il préféra se taire. Attendre, encore un peu, mettre au clair ses songes, se préparer, mentalement et physiquement, à laisser échapper les tumultes de son palpitant. Tu es pardonné. Il se laissa tomber sur sa chaise, prenant une grande respiration.

Il aurait aimé déposer un baiser sur tes lèvres,
Sur son nez,
Et ce jusqu’à son cou.
Enlacer ses doigts aux tiens,
Te traîner à son lit,
Pour prolonger sa nuit à tes côtés,
Se réveiller à tes côtés.

Tu sais bien que je ne parle jamais à ton frère. Un sourcil relevé vers toi, il s’installait plus confortablement sur sa chaise, avant de croiser les jambes. Je ne l’apprécie pas énormément, mais tu aurais pû prévoir quelque chose, surtout si tu en as envie. Il en serait certainement heureux. Sa relation avec le cadet était compliquée, bien qu’il le connaissait peu, les histoires qui l’entouraient ne jouaient pas en sa faveur et Gabriel n’avait jamais pris le temps de converser proprement avec Ezechiel. Conscient qu’il n’était peut-être pas comme l’image qu’on lui avait dépeint, mais les occasions lui manquaient cruellement.

Peut-être prendrait-il prochainement le temps d’aller à sa rencontre, les préjugés ne pouvaient nullement mener à quoique ce soit de positif. Un léger sourire sur les lèvres, il prenait une gorgée de son thé, avant de planter son regard dans le céruléen du tien. C’est ton frère, essaie de prendre le temps de lui acheter un petit quelque chose avant d’aller le retrouver, même un gâteau. Parce qu’il ne pouvait nier que le brun semblait adoré son aîné, alors être dans de meilleurs termes avec lui ne pourrait que le ravir. Du moins, c’est ce que pensait l’écuyer.


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Dim 5 Fév 2023 - 20:34
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Gabriel & Fye
Ils ont la flagrance tant adorée. Tant désirée. Une caresse. Une douceur. Un nuage de réconfort. Le réconfort que j’aurais aimé trouver au creux de tes bras, le visage niché dans ton cou, à humer ton odeur et celle de tes cheveux. Une bouffée de bien être. Qui vient faire battre mon cœur, l’enjolivant dans un tourbillon d'émotions et de sentiments là, quand mes lèvres se posent sur ta tignasse. Cette dose d'ocytocine, de dopamine. La pulsion qui bat en moi et que je dois tenir à l’écart. Celle de t’envelopper dans mon étreinte, t’acculant au plan de travail, mes hanches bloquant les tiennent, le regard enfiévré par ton aura, ton magnétisme, par toi, Gabriel.
Mes lèvres planant sur les tiennes, la tension dans le corps, le feu dans les veines.

Tu n’imagine pas l’effort employé pour feinter, faire comme si il n’y avait pas eu ce flash. Pour reprendre contenance, pour partir laisser mon pull et m’attacher les cheveux, pour m’asseoir, pour reprendre contenance.
Surtout après tes paroles, Gaby. Dit dans une intonation amusée, elles vibrent en moi, sèment la pagaille. Parfois je me demande pourquoi. Pourquoi je me retiens. Pourquoi je ne dis rien.
Tout semble si évident pourtant. Si simple. Il n’y a que trois mots à dire. Une ligne invisible à franchir pour que tes lèvres soient miennes. Que ton souffle soit mien.

Pourquoi est-ce si difficile d’éprouver ces sentiments ?
Pourquoi est-ce si terrifiant de se confier ?
Pourquoi n’ose -t-on pas ?

La peur du rejet.
Tout foutre en l’air pour une confession qui peut être mal accueillie.
Et ramasser le reste de fierté éclatée en morceaux. Bouts de verre fragiles, tranchants. Un rappel à la défaite. Un rappel à la douleur. Ramasser. Rassembler. Sourire et rire. “Mais non c’était une blague”. Baisser les yeux en secret. Éprouver. Endurer. Subir. Sentir son cœur s’être arrêté de battre. Sentir ses émotions partir. Et sentir rien de plus qu’un vide, qu’on essayera à tout jamais de combler à coup de sourire et de plaisanterie fanés.
Et ruminer tard le soir, en boucle.
Si seulement je n’avais rien dit.

La peur de la perte.
Voir l’être aimé s’en aller après avoir ouvert les portes sacrées du sanctuaire coronaire.
Voir l’autre se blesser. Voir l’ennemi s’attaquer au joyaux qui rythme nos vies. Devenu cible de danger.
La peur d’accepter que tout peut s’arrêter.
Dur métier que d’être Chasseur.

Le sourire doux aux lèvres, quand tu me pardonnes. Et la mine pensive, il est vrai que tu n’as jamais été très proche d’Ezechiel. C’est quelqu’un de bien malgré sa maladresse. La vie n’a pas été tendre avec lui. Elle ne l’est toujours pas d’ailleurs et je suis navré pour lui, j’en suis surement pour quelque chose. Un soupire qui franchit mes lèvres et je secoue la tête. ▬ C’est vrai, tu as raison.

Je devrais sérieusement songer à son cadeau. Je veux dire, un vrai cadeau. Pas les litres de javel et autre pack de papiers toilettes dont la livraison aura coûté plus cher que l’article en lui-même.

L’index qui triture la pulpe de ma lèvre inférieure, l’esprit parti s’imaginer quelle sorte de présent offrir à un petit frère qu’on a la plupart du temps toujours taquiné, voir châtié. Un gâteau. En vrai, si je le crame, Ezechiel ne sera pas choqué ni embarrassé, au contraire, je pense qu’il sera soulagé.
Mais tu es là, Gabriel. T’installant à ton aise, les jambes croisées, ton aura innocente qui plane alors que tes mots me reviennent en tête.

▬ Gabriel. Tu aurais fait quoi.

J’ai l’impression d’être en auto-pilote. De laisser s’échapper les pensées venues s’imposer.

▬ Et si je te disais que j’y avais pensé.

Le regard captant le tien.

▬ Si je t’avais rejoins pour-

Et la sonnerie d’un appel qui me coupe. La musique personnalisée ne m’autorise pas à ignorer l’appel.

▬ Excuse-moi.

Je me lève, emporte le natel et décroche.

▬ Solveig !

Je te fais signe que je pars m’isoler, non pas parce que je ne souhaite pas que tu ententes la conversation, mais parce qu’il me faut reprendre un semblant de contenance.
On était proche de la glissade.

Je ré-apparais, visiblement requinqué par la discussion téléphonique.

▬ C’était ma sœur, elle appelait pour savoir ce que je comptais faire pour Eze’. Elle m’a menacé aussi. Que si jamais je le faisais pleurer ou si je le peinais, elle viendrait exprès me botter le cul. Je lui ai parlé de ton idée, elle a eu l’air ravie mais apparemment ça serait encore plus sympaque je le fasse moi-même. Du coup ! Gaby !

Je m’approche de la table, y laisse mon téléphone.

▬ Tu veux bien me filer un coup de main pour faire ce truc sympa? Ou un truc comestible. Histoire de ne pas l’intoxiquer.



Je meurs d’envie de te voir en tablier.
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