Paroles de vieux ☽ ft gawain.
Claus Keating
Mar 22 Nov 2022 - 13:34
Âge : 35 ans.Métier : Avocat ☼ || Tristan ☽.Featuring : Arjuna — Fate.Autres comptes : //
Claus Keating
paroles de vieux ☽ ft gawain
L'avocat détestait ce quartier et le moindre que l'on puisse dire était que son apparence elle-même rendait tangible ce dégoût. Une chemise blanche repassée avec soin, un pantalon onyx et une paire de bottines. L'homme avait au moins pris soin de ne pas s'arborer de bijoux luxueux, se contentant d'une boucle d'oreille offerte par sa mère. Claus le sentimentaliste.
Il avait fait appel à un taxi pour rejoindre les lieux, l'odeur du véhicule lui fît hausser les sourcils mais il se persuadait qu'il le faisait pour la bonne cause. Il faut souffrir pour... Non rien avoir. Hors de question pour lui d'user de sa voiture pour atteindre un tel endroit, il dégoulinait de son air hautain bien qu'au fond, il l'usait la majorité du temps telle une façade. Tristement, il s'y était habitué.
L'homme n'avait rien contre la pauvreté ou autres malheurs de la vie pour autant, il avait en lui cette empathie extrême qu'il dissimulait sous une épaisse couche de glace — givrure teintée de fissures dès lors qu'il se retrouvait dans un lieu tel que celui-ci. D'habitude présent pour chasser, il n'en était rien en ce jour, il n'allait pas pouvoir se défouler pour expier ses pensées incessantes.
l'avocat avait pris soin de venir en pleine journée, s'assurant de la fermeture de l'établissement. Le paladin avait besoin de calme et de solitude en compagnie de son collègue. Allure nonchalante, il s'évertua à déboutonner le bouton de sa chemise le plus proche de sa nuque, cherchant tant bien que mal une allure plus décontractée tandis qu'il déposait son regard sur la porte close du Sunset Neon. Ses doigts se craquèrent puis sa nuque.
quelques jours que la réunion des protecteurs avait eu lieu et pas une seule seconde cette triste scène n'avait quitté l'esprit du paladin. Il ne savait pas lui-même comment le décrire mais au fond de lui une voix ne demandait qu'à crier, se faire entendre, hurler pour espérer prendre position dans tout ce bordel. Son âme se recroquevillait sur elle-même, cherchant à suivre les idéaux de son paternel, de sa famille mais il avait besoin de faire savoir ses réels pensées.
avec Gawain ? Il en doutait un peu.
les deux hommes avaient une relation spéciale mais plutôt positive, rien à signaler mise à part un respect mutuel — denrée précieuse que Claus n'offrait que peu. Trop rarement d'ailleurs. Au fond, il savait qu'il ne parviendrait pas à prononcer, balbutier ce qu'il avait vraiment au fond de son esprit étriqué mais il voulait au moins trouver une oreille attentive pour se libérer. Qui sait, peut-être sera-t-il surpris de la tournure des choses ? Qui ne tente rien n'a rien. Sale adage.
machinalement, Claus se mit à frapper à la porte, avec délicatesse puis de plus en plus fort tout en usant d'une allure teintée de noblesse. Les secondes passent et il ne s'interrompit pas.
sans difficulté il savait que l'homme devait dormir, il suffisait de regarder cet endroit pour cerner qu'il était bien plus nocturne que diurne. Constat étrange pour l'avocat, comment se focaliser sur la nuit étoilée tout en sachant ce qui l'arpente ? Le danger omniprésent ? Par quel moyen parvenait-il à fusionner ses deux vies ? Lui, il était deux personnes différentes, une fois face à un monstre, il n'était qu'une arme créée pour les annihiler. Le beau se devait pour sa survie mentale et physique de scinder les deux.
peut-être n'assumait-il pas encore être d'avantage le tueur d'engeances que l'avocat.
« C'est quand tu veux. » lança-t-il tout en percevant du mouvement derrière la porte. On est insupportable ou on ne l'est pas.
« J'espère ne pas t'avoir réveillé. » Rictus devenant un sourire en coin, un brin moqueur.
Il avait fait appel à un taxi pour rejoindre les lieux, l'odeur du véhicule lui fît hausser les sourcils mais il se persuadait qu'il le faisait pour la bonne cause. Il faut souffrir pour... Non rien avoir. Hors de question pour lui d'user de sa voiture pour atteindre un tel endroit, il dégoulinait de son air hautain bien qu'au fond, il l'usait la majorité du temps telle une façade. Tristement, il s'y était habitué.
L'homme n'avait rien contre la pauvreté ou autres malheurs de la vie pour autant, il avait en lui cette empathie extrême qu'il dissimulait sous une épaisse couche de glace — givrure teintée de fissures dès lors qu'il se retrouvait dans un lieu tel que celui-ci. D'habitude présent pour chasser, il n'en était rien en ce jour, il n'allait pas pouvoir se défouler pour expier ses pensées incessantes.
l'avocat avait pris soin de venir en pleine journée, s'assurant de la fermeture de l'établissement. Le paladin avait besoin de calme et de solitude en compagnie de son collègue. Allure nonchalante, il s'évertua à déboutonner le bouton de sa chemise le plus proche de sa nuque, cherchant tant bien que mal une allure plus décontractée tandis qu'il déposait son regard sur la porte close du Sunset Neon. Ses doigts se craquèrent puis sa nuque.
quelques jours que la réunion des protecteurs avait eu lieu et pas une seule seconde cette triste scène n'avait quitté l'esprit du paladin. Il ne savait pas lui-même comment le décrire mais au fond de lui une voix ne demandait qu'à crier, se faire entendre, hurler pour espérer prendre position dans tout ce bordel. Son âme se recroquevillait sur elle-même, cherchant à suivre les idéaux de son paternel, de sa famille mais il avait besoin de faire savoir ses réels pensées.
avec Gawain ? Il en doutait un peu.
les deux hommes avaient une relation spéciale mais plutôt positive, rien à signaler mise à part un respect mutuel — denrée précieuse que Claus n'offrait que peu. Trop rarement d'ailleurs. Au fond, il savait qu'il ne parviendrait pas à prononcer, balbutier ce qu'il avait vraiment au fond de son esprit étriqué mais il voulait au moins trouver une oreille attentive pour se libérer. Qui sait, peut-être sera-t-il surpris de la tournure des choses ? Qui ne tente rien n'a rien. Sale adage.
machinalement, Claus se mit à frapper à la porte, avec délicatesse puis de plus en plus fort tout en usant d'une allure teintée de noblesse. Les secondes passent et il ne s'interrompit pas.
sans difficulté il savait que l'homme devait dormir, il suffisait de regarder cet endroit pour cerner qu'il était bien plus nocturne que diurne. Constat étrange pour l'avocat, comment se focaliser sur la nuit étoilée tout en sachant ce qui l'arpente ? Le danger omniprésent ? Par quel moyen parvenait-il à fusionner ses deux vies ? Lui, il était deux personnes différentes, une fois face à un monstre, il n'était qu'une arme créée pour les annihiler. Le beau se devait pour sa survie mentale et physique de scinder les deux.
peut-être n'assumait-il pas encore être d'avantage le tueur d'engeances que l'avocat.
« C'est quand tu veux. » lança-t-il tout en percevant du mouvement derrière la porte. On est insupportable ou on ne l'est pas.
« J'espère ne pas t'avoir réveillé. » Rictus devenant un sourire en coin, un brin moqueur.
Gawaïn P. Sveïnsson32 ansPatron du Sunset Neon - Barman / ProtecteurSett : League of Legendsblake
Gawaïn P. Sveïnsson
Ven 17 Fév 2023 - 11:07
Âge : 32 ansMétier : Patron du Sunset Neon - Barman / ProtecteurFeaturing : Sett : League of LegendsAutres comptes : blake
Gawaïn P. Sveïnsson
La tête plein de doutes, à confondre rien foutre avec patience J'te parle pas de galanterie quand j'dis que j'laisse plus passer ma chance
MUSIQUE – L’obscurité d’une pièce, une pénombre, le cliquetis insupportable d’une horloge qui tinte ; gauche, droite, gauche, droite ; l’envie irrépressible de jeter un objet lourd à travers la pièce pour la déloger et la forcer au silence. Seulement, non, la flemme s’empare de ses membres, son esprit souhaite dormir, trouver le repos éternel aux côtés de Morphée, mais rien n’y fait. Ses pensées sont en ébullition, comme la cafetière qui travaille ; personne n’est dans le bar, sauf lui ; cependant il a l’impression de voir danser des gens, d’entendre des voix, de voir passer des commandes. Gawaïn n’a pas arrêté, n’a pas chômer et la fatigue commence à lui jouer des tours, à le plonger entre rêve et réalité. Sa voix résonne dans la pièce, demandant si quelqu’un est là, mais le silence lui répond, alors qu’il se laisse choir dans un des canapés défoncés du bar. Rentrer chez lui, à la villa, c’était dans ses plans à la base, mais finalement il est resté ici, prostré dans ce canapé le jour, à tenir le bar le soir, pour finir par arpenter les rues du quartier la nuit.
Les rondes, les traques
Les coups de pieds et de matraques
Des os qui se tordent et qui craquent
Triste quotidien pour un insomniaque
Se lever du canapé est une épopée que même Ulysse ne saurait supporter, mais Gawaïn avant d’être un homme, est un paladin et rien ne peut le faire faiblir, ni tressaillir. Si ce n’est peut-être un homme. Le visage d’Ezechiel passe furtivement dans son champ de vision, mais c’est avec rapidité que le colosse se masse les yeux, puis les tempes. Il devenait cinglé, le manque de sommeil ne l’aidait pas à garder les pieds sur terre, l’envoyait cruellement à des fantasmes inavoués, que seul son déni pouvait combler. La cafetière émet le son de la fin de son cycle, alors c’est avec rapidité, mais en pestant malgré lui, que le paladin se dirige vers elle, se servant dans un mug taille XXL, le breuvage bien corsée qui allait lui permettre de tenir la journée. Avoir envie de dormir, mais ne pas y arriver, ne pas trouver le sommeil, ne pas le sentir venir le happer. Veiller, comme un animal nocturne dans l’incapacité d’hiberner ; ce qu’il y avait de tragique là-dedans, c’est que les cauchemars jusqu’à aujourd’hui, c’était calmé.
Mais voilà que la mort de Charles vient tout ruiner.
Les états d’âme, il en était prisonnier ; le bourreau désormais enchaîné, il y avait de quoi rire aux éclats, mais rien ; pas un sourire ne vient se nicher sur son visage. Même ça, Gawaïn il n’en est pas capable. Trop lessivé pour que ses muscles faciaux s’actionnent. Les rouages de son cerveau ont du mal à se mettre en marche et le café ne le maintient plus que dans un état second. Bourré de fatigue ? C’était donc possible ? La tête tourne, lentement, il bute contre le canapé et se laisse tomber. Une sieste réparatrice, de quelques minutes, c’est tout ce qu’il demandait. Juste quelques minutes…
Et son souhait est exaucé. Il s’effondre autant physiquement que mentalement, se sent chuter dans les limbes d’un monde onirique ; une descente longue et périlleuse, qui semble durer des heures… Jusqu’à ce qu’un bruit ne le fasse remonter à la surface. Sursaut, son dos quitte la surface molle du canapé, sa peau à moitié collé au cuir, lui arrachant un râle de douleur étrange. Transpirant, c’est comme s’il avait fait un cauchemar, mais il est incapable de s’en rappeler. La douleur dans ses articulations lui prouvent qu’il a eu un sommeil agité… Et d’ailleurs le mug renversé au sol et brisé démontre également qu’il venait de dépasser ses limites. Le bruit à la porte retentit de nouveau et c’est avec lenteur que l’homme se redresse. Les os craquent, le son résonne dans l’habitacle, les omoplates sont contraintes et malmenées par un long étirement ; et c’est avec flegme qu’il déverrouille la porte et l’ouvre.
Il émerge encore de sa courte sieste ; mais la réalité est qu’il ne sait même pas s’il a dormit dix minutes ou trois heures. C… Claus ? La question qui n’en est pas une, sa gueule défaite répondait à ta question, ou plutôt à ton affirmation. J’viens de me réveiller en fait. Désolé, entre. La porte est ouverte en grand pour te laisser le temps d’entrer. C’est avec rapidité qu’il referme derrière vous, ses pas se dirigeant vers le comptoir. Fait attention où tu mets les pieds, j’ai péter un mug de café, j’vais nettoyer ça, installe-toi quelque part. Une éponge à la main, une pelle et une balayette dans l’autre, c’est avec rapidité que Gawaïn s’affaire à nettoyer sa connerie ; et lorsque l’éponge sèche rencontre la mare de café froide, une réponse est trouvée. Il n’a dormi qu’une vingtaine de minutes. Son téléphone est ensuite dégainé pour constater l’heure et un soupir de bien-être s’échappe sans crier gare. Une vraie sieste. Enfin.
Nettoyant à la hâte la connerie qu’il avait sans doute commise durant son sommeil, Gawaïn ramasse les morceaux de porcelaine brisée de sa balayette tout en te demandant. C’est rare que tu viennes me voir ici. Visite de courtoisie, ou avais-tu quelque chose à me dire ? C’est en se redressant et en se dirigeant vers la poubelle derrière le comptoir qu’il continue sur sa lancée. Ou alors, ça concerne la réunion à laquelle j’ai coupé court ? Gawaïn ne savait pas vraiment sur quel pied danser, il sait que ce jour-là, il n’a pas été le plus réceptif aux mesures proposées. Il ne craignait pas d’être jugé, au contraire, il n’en avait strictement rien à carrer ; mais les reproches quant à son comportement, il avait de moins en moins la patience de les gérer. Tu veux boire quelque chose ? C’est la maison qui offre pour t’avoir fait attendre à la porte.
// putain mais les gens mais insultez moi quand j'prend autant de temps pour vous répondre jpp j'suis désolé de l'attente j'espère que la réponse te conviendra ; i'm SO SORRY ♡
@AZRIALes rondes, les traques
Les coups de pieds et de matraques
Des os qui se tordent et qui craquent
Triste quotidien pour un insomniaque
Se lever du canapé est une épopée que même Ulysse ne saurait supporter, mais Gawaïn avant d’être un homme, est un paladin et rien ne peut le faire faiblir, ni tressaillir. Si ce n’est peut-être un homme. Le visage d’Ezechiel passe furtivement dans son champ de vision, mais c’est avec rapidité que le colosse se masse les yeux, puis les tempes. Il devenait cinglé, le manque de sommeil ne l’aidait pas à garder les pieds sur terre, l’envoyait cruellement à des fantasmes inavoués, que seul son déni pouvait combler. La cafetière émet le son de la fin de son cycle, alors c’est avec rapidité, mais en pestant malgré lui, que le paladin se dirige vers elle, se servant dans un mug taille XXL, le breuvage bien corsée qui allait lui permettre de tenir la journée. Avoir envie de dormir, mais ne pas y arriver, ne pas trouver le sommeil, ne pas le sentir venir le happer. Veiller, comme un animal nocturne dans l’incapacité d’hiberner ; ce qu’il y avait de tragique là-dedans, c’est que les cauchemars jusqu’à aujourd’hui, c’était calmé.
Mais voilà que la mort de Charles vient tout ruiner.
Les états d’âme, il en était prisonnier ; le bourreau désormais enchaîné, il y avait de quoi rire aux éclats, mais rien ; pas un sourire ne vient se nicher sur son visage. Même ça, Gawaïn il n’en est pas capable. Trop lessivé pour que ses muscles faciaux s’actionnent. Les rouages de son cerveau ont du mal à se mettre en marche et le café ne le maintient plus que dans un état second. Bourré de fatigue ? C’était donc possible ? La tête tourne, lentement, il bute contre le canapé et se laisse tomber. Une sieste réparatrice, de quelques minutes, c’est tout ce qu’il demandait. Juste quelques minutes…
Et son souhait est exaucé. Il s’effondre autant physiquement que mentalement, se sent chuter dans les limbes d’un monde onirique ; une descente longue et périlleuse, qui semble durer des heures… Jusqu’à ce qu’un bruit ne le fasse remonter à la surface. Sursaut, son dos quitte la surface molle du canapé, sa peau à moitié collé au cuir, lui arrachant un râle de douleur étrange. Transpirant, c’est comme s’il avait fait un cauchemar, mais il est incapable de s’en rappeler. La douleur dans ses articulations lui prouvent qu’il a eu un sommeil agité… Et d’ailleurs le mug renversé au sol et brisé démontre également qu’il venait de dépasser ses limites. Le bruit à la porte retentit de nouveau et c’est avec lenteur que l’homme se redresse. Les os craquent, le son résonne dans l’habitacle, les omoplates sont contraintes et malmenées par un long étirement ; et c’est avec flegme qu’il déverrouille la porte et l’ouvre.
Il émerge encore de sa courte sieste ; mais la réalité est qu’il ne sait même pas s’il a dormit dix minutes ou trois heures. C… Claus ? La question qui n’en est pas une, sa gueule défaite répondait à ta question, ou plutôt à ton affirmation. J’viens de me réveiller en fait. Désolé, entre. La porte est ouverte en grand pour te laisser le temps d’entrer. C’est avec rapidité qu’il referme derrière vous, ses pas se dirigeant vers le comptoir. Fait attention où tu mets les pieds, j’ai péter un mug de café, j’vais nettoyer ça, installe-toi quelque part. Une éponge à la main, une pelle et une balayette dans l’autre, c’est avec rapidité que Gawaïn s’affaire à nettoyer sa connerie ; et lorsque l’éponge sèche rencontre la mare de café froide, une réponse est trouvée. Il n’a dormi qu’une vingtaine de minutes. Son téléphone est ensuite dégainé pour constater l’heure et un soupir de bien-être s’échappe sans crier gare. Une vraie sieste. Enfin.
Nettoyant à la hâte la connerie qu’il avait sans doute commise durant son sommeil, Gawaïn ramasse les morceaux de porcelaine brisée de sa balayette tout en te demandant. C’est rare que tu viennes me voir ici. Visite de courtoisie, ou avais-tu quelque chose à me dire ? C’est en se redressant et en se dirigeant vers la poubelle derrière le comptoir qu’il continue sur sa lancée. Ou alors, ça concerne la réunion à laquelle j’ai coupé court ? Gawaïn ne savait pas vraiment sur quel pied danser, il sait que ce jour-là, il n’a pas été le plus réceptif aux mesures proposées. Il ne craignait pas d’être jugé, au contraire, il n’en avait strictement rien à carrer ; mais les reproches quant à son comportement, il avait de moins en moins la patience de les gérer. Tu veux boire quelque chose ? C’est la maison qui offre pour t’avoir fait attendre à la porte.
// putain mais les gens mais insultez moi quand j'prend autant de temps pour vous répondre jpp j'suis désolé de l'attente j'espère que la réponse te conviendra ; i'm SO SORRY ♡
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